Les attentats contre les tours jumelles sont montrés en direct, souvent par le biais d'images télévisées. Tous les films emploient les images d'archives (aucune reconstitution), et le film en provenance du Mexique montre les gens s'élançant du haut du World Trade Center.
Lorsque les événements ne sont pas montrés de manière explicite, le point de vue change : beaucoup d'inquiétude, principalement liée à la peur des représailles militaires (Iran, Égypte), mais bien souvent aussi une colère à peine masquée, et parfois une forme déguisée d'indifférence (Bosnie-Herzégovine).
La plupart des films tendent à relativiser l'ampleur des événements liés aux attentats du 11 septembre 2001, que ce soit en suggérant qu'il s'agit d'un retour des choses (Angleterre), ou alors qu'il s'agit du lot quotidien pour d'autres pays (Bosnie-Herzégovine, Israël). Un autre cherche à démystifier le point de vue musulman sur les motifs de ces attentats (Égypte), alors que d'autres soulignent les retombées négatives (Inde) ou positives (É.U.) des attentats sur le mode de vie états-unien.
Pour deux films - France et Japon - les attentats ne sont qu'un prétexte à raconter d'une part une histoire d'amour, d'autre part une fable symbolique (qui se déroule plusieurs années avant les événements du 11 septembre 2001).
Moyens de transport représentés: Les avions fonçant dans les tours.
Moyens de communication représentés: Lorsque les attentats sont représentés, c'est par le biais de reportages télévisuels en direct (présence d'un téléviseur dans la chambre, par exemple), ou alors par la récupération d'images d'archives.