18 octobre 2007

Le Géant de la grande tour

Par Patrick Tillard
Présentation de l'œuvre
Ressource bibliographique: 
Le géant de la grande tour.png
Le géant Thyl « au cœur d’oiseau » (référence à Thyl Eulenspiegel?) vit seul dans le désert avec comme ami un arbre. Thyl croise parfois des mirages mais jamais de gens. Un jour des cailloux tombent dans le désert et blessent l’arbre. La nuit suivante une énorme pierre tombe sur l’arbre et l’écrase. De l’arbre, il ne reste qu’un fruit que le géant met dans sa poche. Il part et s’enfonce dans le désert maintenant que l’oasis est morte. Thyl croise un vieil homme qui l’avertit d’un danger qu’il ne comprend pas. Il rencontre un village. Il désarme l’agressivité des guerriers par son rire et rentre dans le village. On lui montre une pierre qui s’appelle la Terreur et qui a détruit une partie du village. Thyl reconnaît la pierre du désert. Les villageois ont peur. Lui aussi a peur, il court et traverse la mer, puis après avoir longtemps marché, il découvre une grande ville au loin, avec des gratte-ciels. Dans la ville, il monte en haut d’un gratte-ciel et attend. Bientôt on s’habitue à lui et on lui offre à manger. Il pense que la Terreur ne viendra pas jusqu’ici. Les hélicoptères arrivent avec, à leur bord, des gens qui veulent photographier Thyl. On vend des tickets pour le voir. Thyl découvre une bibliothèque et emmène pour les lire beaucoup de livres sur sa tour. Plus il lit de livres, plus il se sent fort. Puis les gens prennent peur car la Terreur n’est pas loin, on parle d’une guerre lointaine. Une nuit des cailloux tombent puis la grosse pierre dégringole à son tour. Mais Thyl a trouvé la force de l’arrêter, il l’arrête. Il l’emmène et la jette au loin du sommet d’une haute montagne. La Terreur est morte! Thyl sort la graine de sa poche et la plante. Un nouvel arbre, un nouvel ami va pousser ici.
Précision sur la forme adoptée ou le genre: 
Album jeunesse pour enfants à partir de 6 ans.
Précision sur les modalités énonciatives de l'œuvre: 
Roman, polyphonique, narration fragmentaire, monologue interieur, multiplicité des narrateurs ou narrateur unique, dialogue, jeux sur la temporalité, interactivité, etc.